Vue d'ensemble, 2021
À tâtons, pigments et acrylique sur papier, 26 cm / 27 cm, 2019
Étant rouge, pigment sur papier découpé, 45 cm / 25 cm, 2020
Étant vert, peinture vinylique et pigment sur papier découpé, 180 cm / 98 cm, 2020
Vue d'ensemble, 2021
Vue d'ensemble, 2021
Trempé, encre et crayon sur papiers, résine et pigment, dimensions variables, 2020
Fanions, peinture vinylique et pigment sur papiers découpés, 42 cm / 50 cm, 2020
Écchymose, peinture vinylique, pigment, cheveu sur papier découpé, 51 cm / 46 cm, 2020
Écchymose, peinture vinylique, pigment, cheveu sur papier découpé, 51 cm / 46 cm, 2020 (Détail)
« Je considère que la Nuance est la pratique de l’individuation (et je dirai qu’étymologiquement elle nous importe, car elle implique un rapport au Temps qu’il fait, car nous sommes partis de là. Le Temps qu’il fait, en latin, ça n’est pas tempus, qui est le temps chronologique, c’est coelum, le ciel : or en ancien français, le verbe nuer, qui a donné nuance, voulait dire comparer les couleurs nuancées avec les reflets des nuages ; donc la nuance a un rapport avec le Temps qu’il fait). La Nuance, je pense qu’il faut prendre cette catégorie fortement, généralement, théoriquement, pour une sorte de langue autonome ; à preuve qu’elle est névrotiquement censurée et refoulée par la civilisation grégaire d’aujourd’hui. Je dirai, selon ma sensibilité en tout cas, que la civilisation des médias, des mass media, se définit à mes yeux par le rejet (agressif) de la nuance. »
Roland Barthes, La préparation du roman
Nested (arcs), peinture vinylique et graphite sur papiers découpés, 2 m / 2 m, 2020
Vue d'ensemble, 2021